Le One Piece nouveau est arrivé... enfin pas la traduction française du 104ème volume (!!!), mais le premier tome du diptyque consacré à Ace, frère de, et autre grand héros de la piraterie. Et si Eichiro Oda n'est jamais loin, c'est bel et bien l'auteur de Dr. Stone qui est aux commandes.
Troisième volet de la nouvelle collection intégrale d'Urban Comics dédiée aux titres Batman et premier consacré à la fructueuse année 1988. Un premier détour du coté des pages de la série centrale où Jim Starlin et Jim Aparo entrainent le héros de Gotham et son jeune pupille vers une tragédie annoncée. L'univers de Bruce Wayne n'en serra que plus sombre.
Les aventures d'Artémis continuent après deux premiers diptyques largement plébiscités, Inguinis et Inguinis Oracle. Nouvelle plongée dans une Rome sulfureuse et dangereuse aux cotés de Katia Even et Nicolas Guenet, pour un nouveau mélange très réussi entre mystère presque policier et pornographie débridée.
Dans une futur pas si proche et vaguement lointain, l'humanité a dépassé la crise écologique et a enfin grimpé sur l'ultime marche d'une civilisation avancée. Exit les vieilles politiques xénophobes et paternalistes, voici venu le temps du règne des néo-féministe-bobo-vegan-LGBTQIA+. Le cauchemar absolu de Valeurs Actuelles et de la droite française. Un peu celui de Corbeyran et Jef aussi manifestement.
Quelques années après leur passage remarqué sur Batman avec, entre autres, le story-arc de La Cour des hiboux, Scott Snyder et Greg Capullo se retrouvent loin de DC Comics pour un projet indépendant, bourré d'action et de démons à trucider. C'est beau, ça débourre et ça rappelle forcément la belle époque d'Image Comics et les débordements des années 90.
Après les très anachroniques et réussis Salade César et Waterlose, Karibou se tourne désormais vers les mondes barbares de la Fantasy afin de poser une question primordiale : peut-on être un guerrier au glaive tranchant et porter la belle parole des lendemains qui chantent et une démocratie sociale et égalitaire ? Pas si fastoche pistoche.
Créateur de Kingdom Come et pilier de DC Comics durant les années 80/90 Mark Waid revient à la maison en se voyant offrir une nouvelle série réunissant le duo mythique Batman & Superman : le célèbre titre World's Finest. Retour aux sources et à un certain esprit du Silver Age.
Après La Cavale du Dr Destouche d'après Céline, L'Automne à Pékin de Boris Vian et Les Contres drolatiques de Balzac, les frères Brizzi s'attaquent à un autre classique de la littérature : La Divine Comédie. Un Everest littéraire mais aussi une source inépuisable de visions cauchemardesques et grandioses qui aboutit une nouvelle fois à un ouvrage impressionnant.
Bien occupé par son planning chez DC Comics incluant la suite de Batman Shadow War et ni plus ni moins que le crossover massif Dark Crisis on Infinite Earths, Joshua Williamson trouve le moyen de refaire un petit détour par Central City pour retrouver la bande des Lascars, célèbres ennemis de Flash, et leur offrir un baroud d'honneur au sein de la gamme burnée du Black Label.
Le duo aux sources d'Olympus Mon, Sarah, Prométhée ou Sanctuaire Genesis revient avec un nouveau thriller fantastique. Comme souvent avec ces deux-là, le contexte on ne peut plus contemporain vient nourrir un mystère entre horreur et science-fiction qui accroche dès les premières pages.